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sábado, 23 de marzo de 2013

Belfort: un papá se instala en una tienda de campaña para luchar por la custodia de sus hijos.

Belfort : un papa campe « pour la garde de ses enfants ! »

Sábado, 23 de Marzo, 2013
La obra de Frédéric Feroughi entra en la primavera de los padres. Se trata de un movimiento nacional que dice que "la desesperación de los padres condenados a ver a sus hijos en un fin de semana dos."
Belfort. Frédéric Foroughi se instaló ayer por la mañana, el lugar Yitzhac-Rabin, con su tienda, su olla estufa de gas, y sus disposiciones. Las tres banderas que ha instalado barreras proyecto, afirma hostil para mostrar "la injusticia de la toma de decisiones sexistas jueces de los tribunales de familia en custodia".
La obra de Frédéric Feroughi entra en la primavera de los padres. Se trata de un movimiento nacional que dice que "la desesperación de los padres condenados a ver a sus hijos en un fin de semana dos."
"Por mi parte", dijeron los residentes del distrito Residences, "mi esposa y yo hemos puesto en marcha durante un año y medio, una custodia alterna después de nuestra separación. Esta custodia alterna dejó cuando se mudó en Alsacia durante la noche. Le pregunté a la custodia oficial y único de mis hijos. A pesar de certificados escritos en mi favor, mi petición fue denegada. El juez no tuvo en cuenta el entorno en el cual mis hijos evolucionado. Justificó su decisión afirmando que los profesionales de la primera infancia a favor de la madre, que me parece absurdo. Cuando le pregunté por la custodia de mis hijos, yo era niñera. Así que tuve la oportunidad de cuidar a mis hijos a tiempo completo. En cambio, no veo un fin de semana de cada dos. Cuatro días en el mes. '
Frédéric Foroughi ha apelado esta decisión. Su abogado presentó sus conclusiones, el partido de oposición a hacer lo mismo en breve.
"Me gustaría llamar la atención sobre mi situación y los padres que se encuentran en la misma situación", dice.
Un informe del Ministerio de Justicia, publicado en 2009 revela que el confinamiento se concede al padre en el 7,9% de los casos. También es este el que llegar a denunciar padre o asociaciones como SOS Papá por favor. "Usted no puede querer la igualdad de género y al mismo tiempo no escuchar las demandas de los padres que tengan la intención de asumir sus responsabilidades", dice uno de sus portavoces. Ayer por la mañana, Frédéric Foroughi no podía permanecer en la Plaza Rabin. Fue desalojado por la policía nacional y la policía municipal. "Me explicaron que se manifiestan en el medio de un sitio de construcción era peligroso", dice.
Se instala ante el alto tribunal con pancartas.

Texto original

L’action de Frédéric Feroughi entre dans le printemps des pères. Il s’agit d’un mouvement national qui relate «le désespoir des pères condamné à ne voir leurs enfants qu’un week-end sur deux ».
Belfort. Frédéric Foroughi s’est installé, hier au petit matin, place Yitzhac-Rabin, avec sa tente, son réchaud à gaz, sa casserole et des provisions. Les trois banderoles qu’il a installées sur des barrières de chantier, affichent des revendications hostiles à « l’injustice des décisions sexistes que prennent des juges aux affaires familiales dans la garde des enfants ».
L’action de Frédéric Feroughi entre dans le printemps des pères. Il s’agit d’un mouvement national qui relate «le désespoir des pères condamné à ne voir leurs enfants qu’un week-end sur deux ».
« Pour ma part », explique cet habitant du quartier des Résidences, « ma femme et moi avons mis en place, pendant un an et demi, une garde alternée après notre séparation. Cette garde alternée a cessé lorsqu’elle a déménagé en Alsace du jour au lendemain. J’ai alors demandé la garde exclusive et officielle de mes enfants. Malgré les attestations écrites en ma faveur, ma requête a été refusée. Le magistrat n’a pas pris en compte l’environnement dans lequel évoluaient mes enfants. Il a justifié sa décision en précisant que les professionnels de la petite enfance privilégiaient la mère, ce que je trouve aberrant. Au moment où j’ai demandé la garde de mes enfants, j’étais assistant maternel. J’étais donc en mesure de m’occuper de mes enfants à temps plein. Au lieu de cela, je ne les vois qu’un week-end sur deux. Quatre jours dans le mois. »
Frédéric Foroughi a fait appel de cette décision. Son avocat a rendu ses conclusions, la partie adverse devant en faire de même prochainement.
« Je souhaite attirer l’attention sur ma situation et les pères qui sont dans le même cas », témoigne-t-il.
Un rapport du ministère de la Justice publié en 2009 révèle que la garde n’est confiée au père que dans 7,9 % des cas. C’est aussi ce qu’entendent dénoncer des associations comme SOS père ou SVP Papa. « On ne peut pas vouloir l’égalité homme-femme et en même temps ne pas entendre les revendications des pères qui entendent assumer leurs responsabilités », précise l’un de leur porte-parole. Hier matin, Frédéric Foroughi n’a pas pu rester sur la place Rabin. Il a été délogé par la police nationale, puis par la police municipale. « Elles m’ont expliqué que manifester au beau milieu d’un chantier était dangereux », précise-t-il.
Il s’est donc installé devant le tribunal de grande instance avec ses banderoles.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/03/22/pour-la-garde-de-ses-enfants

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